Malgré le « buzz », la 4G est toujours dans ses premiers balbutiements sur le continent africain.
Ralentie par la cherté des terminaux compatibles avec cette technologie, l’inaccessibilité du spectre 4G, par des lourdeurs administratives ou simplement par des coûts jugés trop élevés, elle compte pour moins de 1 % des lignes connectées (en comparaison avec une moyenne mondiale de 11 % selon la GSMA).
Au Sénégal, où les enjeux financiers de l’attribution de licences 4G se chiffrent en milliards de Fcfa, une période de test a enthousiasmé les consommateurs, avant que l’État ne mette un frein aux ardeurs des opérateurs.
À côté de tout cela, certains ont déjà pris les devants…
La quatrième génération semble tout de même avoir trouvé son terreau dans des pays comme l’Angola, la Namibie, l’île Maurice ou encore l’Afrique du Sud.
En effet, un cadre de régulation et un environnement propices à l’investissement, ont permis à des opérateurs de proposer des services adaptés aux attentes des populations de ces pays et à des entreprises de multiplier leur chiffre d’affaires en développant des solutions innovantes profitant de la 4G.
Comment les entreprises sénégalaises doivent-elles se préparer à entrer dans l’ère de la quatrième génération ?
Quel meilleur endroit pour échanger sur ce sujet que le Salon International des Professionnels de l’Économie Numérique (SIPEN Dakar) qui se tiendra ces 14 et 15 décembre à Dakar à l’hôtel King Fahd.
Rendez-vous dès à présent sur www.sipen-dakar.com pour réserver votre badge, et découvrir les speakers.